Vengeance et damnation

Bon c'est mon premier récit que j'ai déjà écrit il y a plus d'un an, je n'étais pas excellent en Français mais sa passait. Soyez honnête je voudrai savoir ce que vous en pensez , ce que je dois améliorer etc. Sans plus attendre:


PROLOGUE

C'était une belle journée de printemps, les oiseaux chantaient haut et fort, les fermier labouraient leur champs fertiles qu'ils avaient si bien entretenus, les femmes préparaient le dîner pour leurs maris qui allaient bientôt rentrés des champs. Les enfants quant à eux jouaient gaiement dans les champs de leurs parents qui les sermonnaient régulièrement en les voyant piétinés leurs belles cultures. Le soleil commençait à se coucher et les enfants rentraient tristes de leurs petits jeu qui consistaient à enrager leur pauvres pères. Les mères elles étaient ravis car elles avaient déjà préparées de bons petits repas pour leurs familles. Toutes ces personnes habitaient le petit hameau de Vyrkenburg, il était situé à l'entrée de cette forêt de Kerop et aucun des habitants n'osait s'aventurer profondément dans ses bois sombres car ils étaient à ce que l'on dit hanter par des bêtes sanguinaires avides de sang. Des Orques sauvages ayant établis leurs repaires dans les endroits les plus sombres de la forêt et attaquaient toute personne assez folle pour s'aventurer dans ses bois. Mais parfois, pendant les nuits de la Geheimnisnacht les peaux-verte attaquaient les habitants et ne repartaient que lorsqu'ils avaient étanchés leur soifs presque inextinguible ce qui parfois pouvait prendre des heure malgré qu'ils ne soient que quelques douzaines.

Le vent commençait à souffler plus fort que d'habitude et parfois quelques panneaux indicateurs tournaient de sens ou parfois même se décrochaient. Les habitants commençaient à se dépêchés de rentrés chez eux, les femmes criaient à leurs maris«Revient le vent commence à souffler» ou à leurs enfants«Revenez prendre votre goûter». Plus loin dans les champs, deux hommes revenaient de leur travail, l'un d'eux était grand et musclé avec une grande et belle chevelure rousse tandis qu'il s'essuyait le front avec un vieux mouchoir en tissu alors que l'autre étant tout de même musclé, paraissait tout petit par rapport à lui, il avait une belle peau lisse et avait une courte chevelure brune et de grand yeux bleu
-Bon à demain Joras, fit la «grande» personne, et oubli pas ta femme. dit-il en riant.
-De même pour toi, dit Joras, et il éclatèrent de rire.

Soudain un cri perçant retentit de la forêt, un cri inhumain qui fit tomber Joras sur les genoux en se bouchant les oreilles.
-Ah bon sang, qu'est-ce que c'est que ce bruit?fit Joras, il voyait son ami posant sa main sur son front et devenait tout pâle, Ferke, sa va?lui dit-il, c'est vrai que tu as l'ouïe sensible.
-Ouais sa va, c'est sûrement un sanglier qui est en train de souffrir... commença Ferke.
-Oui, t'as sûrement raison mais on sait jamais alors reste sur tes gardes, d'accord? Lui fit Joras.
-Ouais, ouais, t'inquiète ,bon à demain.
Joras rentra chez lui l'air méfiant.

***
-Ah, t'en as mit du temps à revenir Joras et puis c'était quoi ce cri dans la forêt? Demanda la femme de Joras c'était une merveilleuse créature, elle avait de long cheveux d'un noir intense, des yeux émeraude et une peau extrêmement lisse et elle était surtout jeune, le même âge que son amant, vingt-sept ou vingt-huit ans.
-Ne t'inquiète pas mon amour, fit-il en l'enlaçant dans ses longs bras musculeux et il commença à l'embrasser.
-Joras, commença-t-elle.
-Oui mon amour de ma vie qui a-t-il? Lui demanda Joras.
-Je veux un bébé, dit-elle simplement, regarde ton ami Ferke, sa femme, Revona, elle est enceinte, et moi pas, Joras je veux un enfant! Insista-elle.
-Mais pourquoi ma le dire seulement là Vaïla si tu en veux un, tu l'aura et maintenant! S'exclama Joras.
Mais leur porte s'ouvrit brusquement, celui qui l'avait ouvert n'était autre que Ferke, il n'était pas dans son état normal et sa main qui tenait la porte tremblait énormément.
-Joras, Vaïla, sortez, vite! S'exclama Ferke.
-Mais Ferke qu'est-ce qui te prend d'entrer comme cela chez moi? Lui demanda Joras l'air surpris.
-Je n'ai pas le temps d'expliquer, venez, vite!
Ils sortirent tous deux et lorsqu'ils furent dehors, la surprise leurs fut total:
il y avait là tous les habitants de Vyrkenburg rassemblés autour d'une personne qui était par terre.
-Mais enfin, qu'est-ce qui se passe ici, demanda Joras en tenant dans son bras Vaïla, Ferke, il se passe quoi ici?
-Viens et tu comprendras lui dit Ferke.

Chouette, un nouveau texte!
Et bien je trouve que c'est un très bon début et que la suite promet beaucoup. Fais quand même attention aux répétitions et à la ponctuation (par exemple, ta première phrase fait trois lignes et ne possèdent que deux virgules). A part ceci, tout est parfait. Le texte est clair et intéressant. J’ai bien aimé le premier paragraphe qui, par son côté idyllique, contraste fortement avec le titre du récit et avec le monde de Warhammer en général. Bonne description du quotidien des habitants de Vyrkenburg. Je pense que tu as pas mal de talent et j’attends la suite.

Merci je ne m'attendais pas à tant d'éloge!! Bon la suite ce soir normalement car il faut que je corrige quelques petites choses.

sympatoche ^^ vivement la suite !!!

Merci^^!

La suite:

Tous les habitants étaient pétrifiés de terreur devant ce que disait la personne assise par terre.
-Tu te fous de nous là papi, hein? Demanda un des habitants.
-Fuyez tant qu'il est encore tant,hurla la personne à terre, les hommes-bêtes vont tous vous tuer, aucun de vous ne leurs échappera, vous êtes finis, Vyrkenburg sera rayé de la carte du monde et vous allez tous mourir!
C'est alors que le cri perçant que Joras et Ferke avaient entendus retentit à nouveau et cette fois, des bruits d'arbres que l'on poussent de son chemin comme de vulgaire plante se fit entendre puis d'autres firent leurs apparitions dans les oreilles des habitants qui coururent se réfugier dans leurs habitations.

Pendant quelques temps, tout fut tranquille, puis un monstre hideux fit son apparitions. Il était grand d'au moins deux mètres si ce n'est plus avait un torse humain mais sa tête ainsi que son cou ressemblaient à l'anatomie d'une horrible bête. Avait des dents aussi affûtés que le plus tranchant des couteaux et sur ses cuisses était placé deux plaques de fer rouillé. Il avait aussi sur sa tête trois grandes cornes semblable à celles des démons de Khorne. Plus terrifiant encore, il était armé d'une énorme hache qui était si pesant que même le plus fort des hommes aurait eu le plus grand mal à soulever à deux mains. Le monstre s'avança près de l'homme qui était à terre. Ce dernier paraissait fortement âgé et avait une barbe de plusieurs semaine. Quandla bête, quand elle fut à sa hauteur, elle leva sa puissante hache et l'abattit d'un seul coup dévastateur sur le dos dos du malheureux qui se coupa en deux morceaux en libérant tout un flot de sang sur le sol et sur la bête. Alors de la forêt sortirent en hurlant des dizaines de ces bêtes en hurlant et en beuglant comme des sauvages et commencèrent à détruire les champs en les piétinant. Des énormes créatures semblable à ces mêmes monstres mais mesurant plus de trois mètres de haut et armés d'énormes haches aussi grandes qu'un homme debout sortirent de la forêt. Elles chargèrent les maisons en les pulvérisant et en découpant les hommes et femmes comme un homme coupe de blé en faisant jaillir leurs entrailles dans des geysers de sang et des hurlement stridents.

En moins de deux heures, Virkenburg était à feu et à sang, toutes personne assez folle pour essayer de s'enfuir de ce cauchemar se faisait tailler en pièce et cela ajoutait encore du sang à cette mare.
-Joras, je t'en pris, aide moi à sortir de cet enfer, je veux que tout redevienne comme avant, je veux te voir avec ton ami Ferke jouer avec les enfants des voisins! Dit Vaïla en pleurant, elle était couverte de larmes et serait son mari dans ses bras en espérant pouvoir sortir de ce cauchemar.
-Ferke est mort, j'ai vu ces monstres le traîner à terre vers la forêt, nous ne sommes que deux Vaïla, nous ne pouvons rien faire contre eux, il faut se cacher en espérant qu'il ne vont pas nous trouver. Dit Joras, il avait les larmes aux yeux et regardait à travers la vitre les monstres prendre ces hommes, ces femmes et enfants innocents et les traîner vers la damnation.
Joras se retourna en voyant sa femme pleurée et la prit à la main et l'entraina dehors.
-Joras, tu es fou, tu veux ma mort, je n'est pas été une femme digne de toi, c'est cela, elle se dégagea de l'étreinte de son mari te s'enfuit en direction des monstres qui ne manquèrent pas de la voir, et celle-ci s'agenouilla en pleurant, Joras hurla son nom et courut à son secourt, entre temps il y eu une lumière qui l'aveugla un instant ce qui le fit mettre un genoux à terre. Une fois qu'il fut debout, il continua à courir en passant devant les monstres qui apparemment ne le voyaient pas. Malheureusement pour lui, un monstre vit Vaïla, la prit dans ses mains énormes la regarda et cette dernière vit son amant courir vers elle mais se rendit compte de son erreur, qu'il l'aimait, mais s'en rendit compte trop tard car le monstre referma sa mâchoire béante sur son cou et la laissa tomber à terre. Joras continua à courir en direction de son amante qui n'était plus à présent qu'un cadavre sans tête, lorsqu'ils fut à côté de son amante morte, il se jura de trouver et de tuer celui qui a fait cette boucherie humaine. Alors, une de ces bête s'avança près de Joras, ils se regardèrent dans les yeux, chacun d'eux envoyant un regard de haine à l'autre. Mais lorsqu'un cri retentit un même cri perçant que ce que Joras et Ferke avaient entendu auparavant mais en plus grave, le monstre qui regardait Joras une dernière fois et lui montra ses dents puis s'en alla dans la forêt avec ces autres monstres qui emmenaient avec eux des innocents qui ne reverraient jamais la lumière du jour. Puis Joras s'évanouit dans les airs. Il s'appelait Joras Denmir mais il oublierait son nom jusqu'à ce que le moment soit venu de le lui dire.

Je ne suis pas un expert en rédaction (d’ailleurs j’en suis loin) mais essaye de faire des phrases plus courtes. Je pense que cela allègera ton texte.
Par exemple :

Citation :

Il avait aussi sur sa tête trois grandes cornes semblable à celles des démons de Khorne et le plus terrifiant était qu'il était armé d'une énorme hache qui était si pesant que même le plus fort des hommes aurait eu le plus grand mal à soulever à deux mains.

Peut devenir :
"Il avait aussi sur sa tête trois grandes cornes semblable à celles des démons de Khorne. Encore plus terrifiant, il était armé d'une énorme hache si pesante que même le plus fort des hommes aurait eu le plus grand mal à la soulever à deux mains."
(Là, j’ai juste séparé ta phrase en deux et retravaillé un peu la deuxième partie. Je trouve que ça sonne mieux ainsi. )


Il y a aussi plusieurs répétitions gênantes. Par exemple :

Citation :

vers elle mais se rendit compte de son erreur, elle se rendit compte qu'il l'aimait, mais s'en rendit compte trop tard

Tu aurais pu écrire un truc du style :
"Elle se rendit compte de son erreur et qu'il l'aimait, mais elle s'en aperçu trop tard."

Certains passages sont difficiles à comprendre. T'es-tu relu avant de poster?

Sinon, ne te décourage pas pour ça, le texte reste intéressant et j'attends encore la suite. Tu as à mon avis un bon potentiel. Donc, n'oublie pas : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron!". Il ne te reste plus qu’à persévérer et à t’entrainer. Skink, tu seras un grand scribe un jour ! Bref j’espère que mes conseils vont t’aider.

PS : Je me demande juste comment Joras, un simple paysans sans aucune formation militaire compte traquer une horde d'hommes-bêtes à lui tout seul. Je suis curieux de lire cela mais à mon avis, il va falloir qu’il apprenne deux trois choses avant de mettre sa vengeance en route.

Oui je me suis relut mais je sais que je fais des phrases assez longues et c'est justement mon problème en rédaction ainsi que mais un pu moins les répétitions. Mais si on tuerai ta femme je crois que tu serais pareil Darris^^. mais merci pour tes conseils!

Le Scribe a écrit:

Mais si on tuerai ta femme je crois que tu serais pareil Darris^^. mais merci pour tes conseils!

J e n'dis pas le contraire! Je ne doute pas à sa volonté de se venger mais plutôt de sa capacité de le faire, en tout cas en l'état actuel des choses. A moins qu'il est un passé caché. Genre : grand héros de guerre, lassé par celle-ci et qui s'est finallement retiré dans un petit village perdu au fin fond de la campagne. Enfin, j'verrais bien ce qu'il en est avec la suite de ton récit.
Et de rien pour les conseils!

Mais Joras à un secret caché^^ tu verras avec le temps car j'en ais encore à écrire!

Bon alors une autre suite un peu en retard^^(ps après je suis pas super convaincu pour la suite :s):
CHAPITRE 1:
L'INCONNU
L'empire,quelle nation:ses vaillants soldats,ses sorciers,son courage et ses héros. Voenburg,une petite citée impériale située à l'orée de la forêt de Kerop,une forêt sombre et lugubre et infestée de monstres sanguinaires. Voenburg compte parmi les citées impériales qui compte les plus grands chasseurs du Vieux Monde dont voici les plus grands et les plus redoutés par leurs proies:Ferkus Marguedi Van Des,grands chasseur d'Orques et plutôt isolé du reste du monde. Arog Vanduissard un populaire chasseur de Gobelins et de quelques autres gibiers du coin. Matthias Gernord puissant chasseurs vivant dans un petit bosquet où il a aménagé une petite cabane de chasseur et où il va quelques fois traquer de l'ogre et reviens,chose plutôt rare,avec une ou deux têtes d'ogres qu'il ramène de la chasse. Enfin,un des plus puissants chasseurs que l'Empire ait connut,Valnir Kreg,un très grand chasseurs passé maître dans son art et ramenant à chaque fois de belles prises de qualité,entre autre,il a ramené il y a quelque temps une peau de Rhinox et aussi une tête de Troll(qui sentait affreusement mauvais même à plusieurs dizaines de mètres).
Cependant, Valnir est plutôt pessimiste ses derniers temps:il a tendance a se mettre rapidement en colère,certains pensent que c'est à cause de cette chasse «ratée»:c'était il y a de cela maintenant une semaine où Valnir traquait une énorme araignée géante,sûrement dompté par un chef Gobelin pour lui servir de monture,bien évidement il l'avait aperçue,mais lorsque celui-ci était en train de la courser,il se tordit la cheville en trébuchant sur une racine d'arbre,ci qui irrémédiablement entraîna sa chute,et il perdit la trace de l'araignée. Lorsqu'il rentra à la citée et alla prendre sa bonne dose de bière,un de ses individu saoul s'approcha de lui et commença à le titiller
,comme Valnir était énervé,cela ne faisait qu'empirer les choses,cela entraîna une petite et traditionnel «bagarre dans le bar»comme l'appelaient les habitants.

***

Une semaine, une semaine s'était écoulée depuis la destruction de Vyrkenburg, les crieurs publics ne criaient que pour en parler; certains annonciateurs de fin du monde étaient aussi présents. Tous les habitants de Voenburg redoutaient à présent que ce fusse leurs tour. On entendait aussi parler d'une personne miraculée que les monstres ont laissés fuir, personne ne connaissait son nom.

Hum, ça me semble un peu mieux questions écritures mais il y a encore des efforts à accomplir.
J'ai bien l'impression que cette liste de chasseur présentait les futurs compagnons de Joras. Ai-je raison?

Merci Darris^^Ce ne seront pas tous les compagnons de Joras mais certains oui^^. Bon pour les efforts, c'est en progression il faut que je relise tout et il y en a pas mal :s mais c'est en progrès!